QUI ES-TU ?
Je suis plusieurs personnalités à la fois : un inadapté de la vie sans musique, un androgyne, un mélange entre le "dandy-mod" et l’’indie beautiful loser",un hypersensible mélancolique obsessionnel qui vit dans la légèreté et l’insouciance bref un être contradictoire, paradoxal, spirituel pour qui la philosophie du « Carpe Diem » n’est pas étrangère...
TON PARCOURS ?
J’ai mis fin à une carrière juridico-politique pour me consacrer à la musique, j’ai eu plusieurs groupes presque toujours de pop ou d’électro pop. J’ai partagé mon temps entre enregistrements et concerts.
La complexité du groupe avec ses batailles d’egos m’ont poussé à l’introspection musicale.
Après l’écriture de chansons dans ma ville ensoleillée de Sète, j’ai changé de décor en mettant le cap sur Paris, où les premiers concerts m’ont amené à de nouveaux arrangements.
D’une musique définitivement pop avec des accents noisy, je me suis projeté vers de l’anti-pop des plus dépouillés.
COMMENT DEFINIRAIS-TU TA MUSIQUE ?
Une musique mélancolique teintée, parfois, d’un brin d’optimisme.
La présence fondamentale d’une mélodie, d’un phrasé vocal, et d’un rythme qui ne se cachent derrière aucun arrangement ni effet de guitare :
TES INFLUENCES
Sparklehorse, The Beach Boys, Daniel Johnston, The Velvet Underground, Pavement, The Libertines, Syd Barrett, Radiohead, Elliott Smith, Aphex Twin et tant d’autres....
POURQUOI VENIR A PARIS ?
Le soleil me faisait mal aux yeux...
COMMENT TRAVAILLES-TU, STUDIO ? COMPO ? ARRANGEMENTS... ?
La mélodie arrive toujours en premier, le texte vient ensuite. Ce dernier résulte souvent du style ‘’écriture automatique". Pour les arrangements, j’essaie de travailler souvent avec quelqu’un à la production.
COMMENT APPREHENDES-TU LA SCENE ?
De manière la plus naturelle qui soit, sans calcul. Je me sens bien sur scène : c’est mon élément !
TES OBJECTIFS ?
Ce n’est pas très original mais vivre de ma passion pour la musique, être un maximum sur la route et construire une discographie.
TES PROJETS ?
Un enregistrement avant la fin 2015.
LE MOT DE LA FIN ?
Quelle fin ?